Avertissement :
Pour une fois, ce témoignage de Sabine contient des propos très crus, pouvant être choquants pour certains. Merci à l’avance de prendre ce témoignage pour ce qu’il est : une demande d’aide. Et rien d’autre.
Bonsoir Sophie,
Comme je te l’avais promis, je viens te raconter comment je suis devenue « une pute à blacks ». Je viens de recevoir un
groupe d’hommes. Ils sont partis quand je t'ai envoyé le premier message, quatre de mon groupe de six, qui m'ont baisée comme la salope à blacks que j'aime être. J'ai été particulièrement pute
cette nuit, et je ne le regrette pas, prise en double et triple à les vider, ils sont repartis les bourses vides et pendant que je t'ai écrit le petit mail, cela coulait de moi. Je sentais leurs
spermes de partout, j'en avais dans les cheveux. C'est si bon d'être ainsi.
Je dois t'expliquer comment j'en suis arrivée là.
je suis d'une famille catholique bon teint, mariée à 23 ans (j'en ai 55) après mes études d'histoire avec un homme que je croyais être
le prince charmant mais qui ne me touchais quasiment pas. De cette union (j'ai été mariée de 23 à 33) sont nées trois filles : Nathalie, Véronique et Isabelle. Elles ont aujourd'hui 29, 27 et
bientôt 23.
Un jour que je rentrais à la maison avec Nathalie, je tombe sur mon mari avec une jeune femme, lui la sodomisant, chose que je trouvais à l'époque dégradant. J'étais anéantie, dans mon lit ce salaud enculait une fille qui avait 15 ans de moins que moi.
Il a essayé de s'expliquer, mais au final, il est parti avec elle me laissant avec les trois filles sur le dos. J'étais démoralisée, me
sentant nulle, je n'avais jamais travaillé, les filles avait 7, 5 et 1 ans.
J'appelle ma mère, qui appelle son filleul qui revenait du Sénégal, de 14 ans mon cadet, que j'avais eu dans mes bras pour son baptême.
Il avait 19 ans, avait passé toute sa vie au Sénégal, où sa mère s'était mariée avec un sénégalais à la mort de son père juste après leur arrivée à Dakar.
Il descend de sa haute Provence où il venait d'hériter d'une grande maison (notre maison de famille, nous sommes cousins à la 8ème génération, cela ne s'invente pas) et d'un peu d'argent.
Il vient me récupérer et prend les choses en main. Je ne voulais qu'une chose disparaître sous terre.
Il prend un avocat, nous emmène dans cette campagne qu'avant je détestais, et sous le charme de laquelle je suis tombée. Il inscrit les
filles à l'école. Tout le monde le connaissait, ma branche avait déserté l'endroit depuis longtemps mais eux, enfin nous maintenant, y sommes accrochés…
Donc il prend tout en main. Un an se passe, le divorce est prononcé. Là, je vois ma mère à la maison qui vient prendre le thé. Je lui dis personne ne voudra d'une femme sans métier, avec trois enfants, de déjà 34 ans. Elle éclate de rire.
« Tu n'as pas du regarder celui qui t'héberge ! »
Je lui ai dit que nous avions 14 ans d'écart, et puis non. Et en fait je l'ai observé et je suis tombée folle amoureuse.
Et les blacks dans tout ça ? J’y viens.
Donc je tombe folle de lui, lui l'était déjà de moi. Il me faisait l'amour tout le temps. J'ai tout appris avec lui, tu te rends
compte, avec un homme de 14 ans de moins que moi !
J'ai sucé pour la première fois un sexe et avaler du sperme. Son sexe a été le premier dans mon cul. Pas la dernière !
Et je suis devenue petit à petit son esclave sexuelle et fière de l'être.
On se marie. Il avait passé 19 ans au Sénégal. Il devient marin (militaire). L'été avant sa première mission, il invite deux amis sénégalais. C'était en 1990. J’étais déjà très docile et enceinte de ma 4ème fille.
Et le premier soir, (les filles étaient chez ma mère), nous étions tous les 4 dans le salon, moi en petite robe, eux en chemise et maillots de bain, assise contre mon homme, il me dit : « Suce moi. »
Je le regarde : « devant tes amis ?
- oui, cela ne les gêne pas et mets-toi nue. »
C'était en juillet, j'avais déjà un petit ventre et ma poitrine avait forci un peu.
« Montre-toi à mes amis, ils aiment les blanches salopes comme tu es. »
J'étais excitée et troublée à la fois. Je me mets à genoux pour le sucer et je sens ses amis à mes côtés, leurs mains sur moi, leurs
doigts en moi, puis je me suis empalée sur mon homme pendant que je suçais un des deux et que l'autre me prenait par derrière. Ma première triple pénétration. J’ai joui comme une folle. J’ai aimé
ses sexes noirs tout de suite. Ils sont restés dix jours après le départ de mon homme, dix jours à me prendre tout le temps. Mon homme est rentré assez vite cette fois-ci. Mais dès qu'il partait,
venaiten pour s'occuper de moi des amis du pays qui étaient en France.
En décembre, j'accouche de Caroline. Elle a 21 ans cette année. Mon mari faisait des missions relativement courtes ce qui fait
que j'avais rarement plus de trois blacks pour moi.
Puis en 1994, il part quatre mois. Là, il me confie à un de ses amis (un des deux premiers) pour la durée lui demandant de me faire
gouter un groupe conséquent. Par touche progressive, je suis montée à 12 hommes. C’était une à deux fois par semaine, sinon le groupe passait en journée à la maison quand chacun avait envie sauf
après l'école.
Quatre mois à être prise chaque jour, à devenir une femelle à blacks qui attendait les semences qui allaient la remplir. Je me sentais femelle et putain de tous ces blacks et heureuse. Je suis tombée enceinte et maintenant Clarisse a 17 ans bientôt. J’ai été heureuse quand elle est née. De l'allaiter et que les gens sachent que j'étais un ventre à blacks.
Quand mon homme rentrait, on avait juste quelques soirées avec moi seule, mais ses meilleurs amis blacks passaient en semaine (juste 4
ou 5).
En 1996, même chose il est parti 6 mois et là je suis montée à 19 dans plusieurs gang bangs. Clarisse a maintenant 14 ans et est une
superbe métisse comme sa sœur.
Je passe sur toutes les années ou je prenais de plus en plus de sexes blacks, mais sans égaler mes 19 (que j'ai fait 12 fois en six
mois).
Chaque jour, j'en ai vu de 1996 à 2010. Un, deux souvent plus.
Et puis mon homme est parti un an. Et c'est là où j'ai rencontré mon groupe de 6 sénégalais dont un connaissait mon homme. Il me confie
à celui là et là je suis montée à 27, devenant accro aux groupes.
Parfois plusieurs venait (de 5 à 8) dans la journée. Jusqu'à ce que nous en parlions, j'étais dans l'attente chaque jour d'être traitée
en pute blanche de jeunes blacks. J'étais folle, vivant nue en attendant qu'une bite vienne et que j'écarte instinctivement mes cuisses pour donner mes trous à défoncer comme une salope une
trainée blanche droguée aux spermes et aux bites noires. J’ai été prise en boîte afro, gang banguée chez moi chez le meneur, mais j'étais heureuse d'être leur pute.
Je suis une pute à blacks Sophie, je ne résiste pas quand j'en vois un. Mais tu m'as ouvert les yeux.
Finalement je n'ai pas été si ordurière, vu ce que j'entends quand ils me remplissent mais cela m'a fait du bien de t'écrire, j'ai fait
un peu long, je suis désolée.
Maintenait, je me dis que ce comportement n’est pas « normal », je ne sais pas pourquoi je suis devenue comme ça, comment j’en suis arrivée là. Il faut sans doute que cela change, mais je ne sais pas, je ne sais plus vraiment ce que je dois penser. Ou ne pas penser du tout.
J’aimerai que tu publies mon histoire, pour avoir des avis d’autres personnes. Ca m’aidera à y voir plus clair.
Sabine
Sophie :
Chère Sabine, ton histoire est tragique, et même si tu y trouves du plaisir, une foule de questions se posent pour savoir comment tu en es arrivée là. Cette situation n’est en effet pas normale. On peut aimer faire des expériences hors-normes de temps en temps, comme certains se soûlent à mort une ou deux fois par an. Mais pas plus.
De plus, certains réseaux existent, qui repèrent des femmes comme toi, et finissent par les prostituer, sans qu’elles le sachent, ou sans leur consentement.
Qui te dit que le meneur dont tu parles ne monnaye pas tes faveurs auprès des participants ? Il arrive que ce genre d’homme emmène de force les femmes qu’ils ont sous leur coupe, pour les prostituer à l’battage, dans des chantiers, les emmener en Hollande, ou en Afrique.
Tu as aussi des filles, qu’ils pourraient avoir dans leur ligne de mire. Ils sont venus chez toi, ils connaissent donc ta famille... Des photos, de dessins d’enfants… Certains n’ont aucun scrupule à entrainer les filles, après la mère. Saches qu’ils te méprisent, que tu n’es qu’un objet pour eux. Ils ‘n’ont aucun respect pour les femmes qu’ils prennent comme ça, en partouze ou gang-bang.
Je suis rude dan mes propos, mais il faut que tu réagisses, sortir des griffes de ce groupe. Si tu as des envies trop fortes, va les assouvir ailleurs, avec de inconnus, qui ne sauront pas où te retrouver après.
Et surtout, il faut que tu te poses les « bonnes » questions, sur les raisons qui t’ont amenée à cette situation. Les lecteurs pourront sans doute t’aider en cela. Mais les réponses, toi seule les as..
Garde courage, tu ne seras plus seule pour affronter cette histoire…
Je t’embrasse bien affectueusement.
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