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  • : Ce blog est un espace de liberté, où les femmes hypersexuelles pourront parler comme elles le veulent, se confier, et nous faire comprendre comment elles en arrivent à être ce qu'elle sont.
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Témoignages

Vendredi 8 juillet 5 08 /07 /Juil 05:03

Avertissement :

 

Pour une fois, ce témoignage de Sabine contient des propos très crus, pouvant être choquants pour certains. Merci à l’avance de prendre ce témoignage pour ce qu’il est : une demande d’aide. Et rien d’autre.

 

 

Bonsoir Sophie,


Comme je te l’avais promis, je viens te raconter comment je suis devenue « une pute à blacks ». Je viens de recevoir un groupe d’hommes. Ils sont partis quand je t'ai envoyé le premier message, quatre de mon groupe de six, qui m'ont baisée comme la salope à blacks que j'aime être. J'ai été particulièrement pute cette nuit, et je ne le regrette pas, prise en double et triple à les vider, ils sont repartis les bourses vides et pendant que je t'ai écrit le petit mail, cela coulait de moi. Je sentais leurs spermes de partout, j'en avais dans les cheveux. C'est si bon d'être ainsi.

Je dois t'expliquer comment j'en suis arrivée là.


je suis d'une famille catholique bon teint, mariée à 23 ans (j'en ai 55) après mes études d'histoire avec un homme que je croyais être le prince charmant mais qui ne me touchais quasiment pas. De cette union (j'ai été mariée de 23 à 33) sont nées trois filles : Nathalie, Véronique et Isabelle. Elles ont aujourd'hui 29, 27 et bientôt 23.

Un jour que je rentrais à la maison avec Nathalie, je tombe sur mon mari avec une jeune femme, lui la sodomisant, chose que je trouvais à l'époque dégradant. J'étais anéantie, dans mon lit ce salaud enculait une fille qui avait 15 ans de moins que moi.


Il a essayé de s'expliquer, mais au final, il est parti avec elle me laissant avec les trois filles sur le dos. J'étais démoralisée, me sentant nulle, je n'avais jamais travaillé, les filles avait 7, 5  et 1 ans.


J'appelle ma mère, qui appelle son filleul qui revenait du Sénégal, de 14 ans mon cadet, que j'avais eu dans mes bras pour son baptême. Il avait 19 ans, avait passé toute sa vie au Sénégal, où sa mère s'était mariée avec un sénégalais à la mort de son père juste après leur arrivée à Dakar.

 

Il descend de sa haute Provence où il venait d'hériter d'une grande maison (notre maison de famille, nous sommes cousins à la 8ème génération, cela ne s'invente pas) et d'un peu d'argent.


Il vient me récupérer et prend les choses en main. Je ne voulais qu'une chose disparaître sous terre.


Il prend un avocat, nous emmène dans cette campagne qu'avant je détestais, et sous le charme de laquelle je suis tombée. Il inscrit les filles à l'école. Tout le monde le connaissait, ma branche avait déserté l'endroit depuis longtemps mais eux, enfin nous maintenant, y sommes accrochés…

 

Donc il prend tout en main. Un an se passe, le divorce est prononcé. Là, je vois ma mère à la maison qui vient prendre le thé. Je lui dis personne ne voudra d'une femme sans métier, avec trois enfants, de déjà 34 ans. Elle éclate de rire.

« Tu n'as pas du regarder celui qui t'héberge ! »

 

Je lui ai dit que nous avions 14 ans d'écart, et puis non. Et en fait je l'ai observé et je suis tombée folle amoureuse.
Et les blacks dans tout ça ? J’y viens.


Donc je tombe folle de lui, lui l'était déjà de moi. Il me faisait l'amour tout le temps. J'ai tout appris avec lui, tu te rends compte, avec un homme de 14 ans de moins que moi !

 

J'ai sucé pour la première fois un sexe et avaler du sperme. Son sexe a été le premier dans mon cul. Pas la dernière !

Et je suis devenue petit à petit son esclave sexuelle et fière de l'être.

 

On se marie. Il avait passé 19 ans au Sénégal. Il devient marin (militaire). L'été avant sa première mission, il invite deux amis sénégalais. C'était en 1990. J’étais déjà très docile et enceinte de ma 4ème fille.

 

Et le premier soir, (les filles étaient chez ma mère), nous étions tous les 4 dans le salon, moi en petite robe, eux en chemise et maillots de bain, assise contre mon homme, il me dit : « Suce moi. »

 

Je le regarde : « devant tes amis ?

- oui, cela ne les gêne pas et mets-toi nue. » 

 

C'était en juillet, j'avais déjà un petit ventre et ma poitrine avait forci un peu.
« Montre-toi à mes amis, ils aiment les blanches salopes comme tu es. »

 

J'étais excitée et troublée à la fois. Je me mets à genoux pour le sucer et je sens ses amis à mes côtés, leurs mains sur moi, leurs doigts en moi, puis je me suis empalée sur mon homme pendant que je suçais un des deux et que l'autre me prenait par derrière. Ma première triple pénétration. J’ai joui comme une folle. J’ai aimé ses sexes noirs tout de suite. Ils sont restés dix jours après le départ de mon homme, dix jours à me prendre tout le temps. Mon homme est rentré assez vite cette fois-ci. Mais dès qu'il partait, venaiten pour s'occuper de moi des amis du pays qui étaient en France.

En décembre, j'accouche de Caroline.  Elle a 21 ans cette année. Mon mari faisait des missions relativement courtes ce qui fait que j'avais rarement plus de trois blacks pour moi.
Puis en 1994, il part quatre mois. Là, il me confie à un de ses amis (un des deux premiers) pour la durée lui demandant de me faire gouter un groupe conséquent. Par touche progressive, je suis montée à 12 hommes. C’était une à deux fois par semaine, sinon le groupe passait en journée à la maison quand chacun avait envie sauf après l'école.

 

Quatre mois à être prise chaque jour, à devenir une femelle à blacks qui attendait les semences qui allaient la remplir. Je me sentais femelle et putain de tous ces blacks et heureuse. Je suis tombée enceinte et maintenant Clarisse a 17 ans bientôt. J’ai été heureuse quand elle est née. De l'allaiter et que les gens sachent que j'étais un ventre à blacks.


Quand mon homme rentrait, on avait juste quelques soirées avec moi seule, mais ses meilleurs amis blacks passaient en semaine (juste 4 ou 5).
En 1996, même chose il est parti 6 mois et là je suis montée à 19 dans plusieurs gang bangs. Clarisse a maintenant 14 ans et est une superbe métisse comme sa sœur.

Je passe sur toutes les années ou je prenais de plus en plus de sexes blacks, mais sans égaler mes 19 (que j'ai fait 12 fois en six mois).
Chaque jour, j'en ai vu de 1996 à 2010. Un, deux souvent plus.

Et puis mon homme est parti un an. Et c'est là où j'ai rencontré mon groupe de 6 sénégalais dont un connaissait mon homme. Il me confie à celui là et là je suis montée à 27, devenant accro aux groupes.

 

Parfois plusieurs venait (de 5 à 8) dans la journée. Jusqu'à ce que nous en parlions, j'étais dans l'attente chaque jour d'être traitée en pute blanche de jeunes blacks. J'étais folle, vivant nue en attendant qu'une bite vienne et que j'écarte instinctivement mes cuisses pour donner mes trous à défoncer comme une salope une trainée blanche droguée aux spermes et aux bites noires. J’ai été prise en boîte afro, gang banguée chez moi chez le meneur, mais j'étais heureuse d'être leur pute.
Je suis une pute à blacks Sophie, je ne résiste pas quand j'en vois un.  Mais tu m'as ouvert les yeux.

Finalement je n'ai pas été si ordurière, vu ce que j'entends quand ils me remplissent mais cela m'a fait du bien de t'écrire, j'ai fait un peu long, je suis désolée.

Maintenait, je me dis que ce comportement n’est pas « normal », je ne sais pas pourquoi je suis devenue comme ça, comment j’en suis arrivée là. Il faut sans doute que cela change, mais je ne sais pas, je ne sais plus vraiment ce que je dois penser. Ou ne pas penser du tout.

 

J’aimerai que tu publies mon histoire, pour avoir des avis d’autres personnes. Ca m’aidera à y voir plus clair.

 

Sabine

 

 

Sophie :

 

Chère Sabine, ton histoire est tragique, et même si tu y trouves du plaisir, une foule de questions se posent pour savoir comment tu en es arrivée là. Cette situation n’est en effet pas normale. On peut aimer faire des expériences hors-normes de temps en temps, comme certains se soûlent à mort une ou deux fois par an. Mais pas plus.

 

De plus, certains réseaux existent, qui repèrent des femmes comme toi, et finissent par les prostituer, sans qu’elles le  sachent, ou sans leur consentement.

 

Qui te dit que le meneur dont tu parles ne monnaye pas tes faveurs auprès des participants ? Il arrive que ce genre d’homme emmène de force les femmes qu’ils ont sous leur coupe, pour les prostituer à l’battage, dans des chantiers, les emmener en Hollande, ou en Afrique.

 

Tu as aussi des filles, qu’ils pourraient avoir dans leur ligne de mire. Ils sont venus chez toi, ils connaissent donc ta famille... Des photos, de dessins d’enfants… Certains n’ont aucun scrupule à entrainer les filles, après la mère. Saches qu’ils te méprisent, que tu n’es qu’un objet pour eux. Ils ‘n’ont aucun respect pour les femmes qu’ils prennent comme ça, en partouze ou gang-bang.

 

Je suis rude dan mes propos, mais il faut que tu réagisses, sortir des griffes de ce groupe. Si tu as des envies trop fortes, va les assouvir ailleurs, avec de inconnus, qui ne sauront pas où te retrouver après.

 

Et surtout, il faut que tu te poses les « bonnes » questions, sur les raisons qui t’ont amenée à cette situation. Les lecteurs pourront sans doute t’aider en cela. Mais les réponses, toi seule les as..

 

Garde courage, tu ne seras plus seule pour affronter cette histoire…

 

Je t’embrasse bien affectueusement.

Par Sabine et Sophie - Publié dans : Témoignages - Communauté : Réalités
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Mardi 9 novembre 2 09 /11 /Nov 00:17

Chienne de vie ?

Ou vie de chienne ?

Si je regarde la sienne,

Elle non plus jamais ne sourit.

 

Problèmes, soucis, ennuis,

Tout arrive toujours

Et ne me laisse aucun répit.

Rien, même pas l’amour

N’est là pour ma survie.

 

Et pour ça tous les jours

Toujours

Et de plus en plus fort,

Je vois rôder la mort

Qui bientôt scellera mon sort.

 

Que ne vient-elle me chercher ?

On cœur a déjà été arraché

Par les hommes violeurs,

Menteurs et sans cœurs.

 

Qu’ils soient maudits

D’avoir pourri ma vie

De laisser derrière eux

Un corps vide et creux.

 

Le corps n’est plus qu’un pantin

Où courent beaucoup trop de mains.

Il vaut mieux que je le brade

Plutôt que de subir la brimade.

Qu’ils se fassent plaisir,

Moi, ça me fait mourir.

 

Par Anonyme - Publié dans : Témoignages - Communauté : Réalités
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Lundi 25 octobre 1 25 /10 /Oct 16:12

Pour une fois, je vous propose un témoignage positif sur une certaine forme d'hypersexualité. Uta vous raconte comment elle le vit.

 

Mon hypersexualité s'est révélée extrêmement soudaine. Je suis passée de "rien" ou presque, de la quasi inactivité sexuelle à "tout" ou presque.


L'agréable sensation que me procurait et me procure toujours mon mari, s'est en une même soirée, puis nuit, transformée en plaisir quasi « bestial » (à prendre au second degré, évidemment). La jolie (parait-il) bourge coincée s'est comme d'un coup de baguette magique transformée en l'une des "salopes" les plus appréciée du milieu libertin (là, c'est sur !). Je suis -en une fois- devenue une insatiable bisexuelle fontaine, et une non moins insatiable et multi-orgasmique amatrice de sexes de films pornos !


Reprenons l'avis du Doc. Je me masturbe peu. Le matin vite et bien fait sous ma douche. Le soir longuement et très bien fait dans ma baignoire.
L'après midi, tous les deux jours en moyenne, mon amant me fait l'amour seul ou accompagné. Entre deux, mon mari dont j'aime qu'il me masturbe, mais pas qu'il me pénètre (pas d'orgasme ainsi avec lui) m'accompagne pour d'autres rencontres. Bref, sans rentrer dans les détails, je n'arrête pas.


Cela dit, je peux m'en passer. C'est rare, mais cela m'arrive. En revanche, je suis très excessive quand je « pratique ». Si nous sommes quarante filles et garçons et que toutes et tous me plaisent, cela ne me pose absolument aucun problème psychique ou physique d’avoir une relation sexuelle avec toutes et tous, et avoir au moins un orgasme avec chacune et chacun. Ne pas satisfaire mes partenaires m'est difficile à supporter.

 

« Baiser » est pour moi un partage. Faire jouir mon mari en me laissant pénétrer ou en le masturbant est un devoir et un plaisir quasi « religieux » pour moi. Ma frustration est néanmoins pas moindre que la sienne, de n'y pas parvenir avec nos sexes respectifs.
Notre entente est intellectuelle. Son ciment est « l'habitude », en fait nos bonnes habitudes depuis notre adolescence. Sexuellement, par partenaires interposés, mon mari m'a permis de tout connaître de ce dont j'ai envie, ou plus prosaïquement... besoin. L'abstinence n'est pas ma tasse de thé.


D'où cette véritable frénésie me vient-elle ? Assurément de cette première soirée et nuit d'orgasmes. C'était la première fois que j’avais une relation sexuelle avec une femme. Une brune sublime, comme on n'en voit que sur les couvertures de Vogue... Son "mec", bel homme n'avait pas sa distinction, mais bien des blacks aimeraient avoir un pénis comme le sien. Ce fut le premier homme de ma vie à me donner un orgasme avec son sexe. Un orgasme aussitôt suivi de je ne sais plus de combien. C'était il y a presque vingt ans. De ce soir là, je me suis jurée qu'aucun homme en dehors de mon mari n'aurait le droit de me pénétrer sans me faire jouir.


« Il faut savoir s'en servir », gnan, gnan, gnan... Ce n'est pas faux, mais pour des femmes comme moi, c'est une question de diamètre et de taille. Et pour en avoir discuté avec beaucoup de femmes, je ne suis vraiment pas la seule dans ce cas.
La cause ?...j'ai un grand vagin, ce qui ne se devine pas quand on me voit habillée ou nue. Je suis petite et mince ! Nul besoin d'être grand clerc ou grand médecin pour faire le rapprochement lorsqu'une fille ne jouit pas. J'ai pourtant consulté au début de notre mariage.

« Vous êtes frigide, Madame ». Espèce de c...e (c'était "une" médecin).
Pour rester dans l'explication pseudo scientifique (ce n'est pas du tout mon métier) l'image que j'ai du Mâle n'est évidemment pas celle de mon mari, mais celle du premier homme qui m'a donné du plaisir (et quel plaisir, wooaouh !).

 

Un « Homme », cela a un gros sexe. Le fait est que dans les partouzes, je fais rire mon mari et toutes celles et ceux avec qui je couche souvent et qui me connaissent donc très bien. Comme une guêpe sur une tartine de miel, je « fonce » d'un air fasciné vers tout mec bien pourvu. Un mec mignon, de 18 à 60 ans, de bonne taille, est certain de coucher avec moi.

Plus exactement, certain que je vais le baiser.

 

J'aime avoir le dessus sur un Homme. Je lui prend ce que mon mari n'est pas capable de me donner, ce c..  que j'adore. Mais c'est du partage. Bien rares sont mes partenaires auxquels je n'ai pas rendu les orgasmes qu'ils m'ont donné. Donnant-Donnant !

Venons en à Hyper... Ce sont surtout les femmes qui sont hypersexuelles. C'est plus facile pour une femme. Beaucoup de femmes ne jouissent pas, par ignorance comme moi jusqu'à ce que je comprenne qu'il devait y avoir comptabilité physique pour que cela « fonctionne ».

Qu'elles fuyent les médecins et fassent comme moi : un bon club échangiste où faire leur « marché ». Que les femmes qui ne jouissent qu'une fois se libèrent. Rien n'est pire qu'une femme qui se retient. Elles jouissent... et se rhabillent. Quelle tristesse. Une nana peut jouir et être mal baisée !


Mon mari ne me fait pas jouir avec son « petit » (pour moi) sexe, mais on s'éclate avec quelques doigts, nos langues... et un minimum de bonne volonté et de complicité. Maintenant, il est évident que je préfère les relations sexuelles avec mon amant ou tous mes partenaires. C'est un vrai bonheur de partager sa jouissance avec son sexe plutôt que des doigts, une main ou un sex-toy.

Beaucoup de nanas utilisent les mecs bien montés comme des sex-toy. Pourquoi pas ?

 

Les hyper-sexuels existent, j'en rencontre régulièrement. Mais ils sont rares. Un mec hyper-sexuel avec une nana hyper sexuelle... c’est hyper sexuel ! Comme il n'est en rien pour moi extraordinaire de coucher avec plusieurs dizaines de personnes pendant un week end (j'aime que cela dure, ce n'est pas de gang bang dont je parle là, ce qui est un autre et très agréable plaisir aussi), plusieurs de mes partenaires réguliers ont la faculté de pouvoir, pendant le même espace temps que moi, coucher avec plusieurs dizaines de filles, plus des mecs quand ils sont bisexuels. Sans drogues à priori.

 

Stupéfiant. Je ne suis guère amatrice de films pornos, mais certains de ces garçons (dont mon amant JJ...) ont été débauchés par des producteurs pour quelques scènes difficiles à jouer par des hommes « normaux ».


Ma conclusion, pour autant qu'il soit possible d'en faire une, est toute simple. Plus vous avez de relations sexuelles, plus ca se passe bien, et plus vous attirez celles et ceux qui font bien l’amour.

« On » se reconnaît entre nous, comme nous (mecs et nanas) nous nous trompons rarement en regardant se déshabiller une femme ou un homme (nous savons si cela va être bien ou bof...)

Plus vous êtes satisfaites, plus elles/ils le sentent. Il est évident que dans ce cas là... n'importe qui devient « hypersexuel(le) ».

 

Le plaisir est extrême. Il n'est pas quantitatif, mais il le devient. En un tel cas, le qualitatif amène à la recherche quantitative. Le summum de ce type de relations (en général avec lendemains, car les partenaires essayent de se revoir), est d'arriver à des relations sexuelles qui mènent à l'extase (mais c'est une autre histoire que celle-là où les partenaires jouissent à l'extrême... sans même plus se toucher sexuellement).

D'aucuns comparent la bouffe au sexe. Erreur. Même subtil, le meilleur des chefs n'aura jamais assez de recettes possibles à vous offrir pour varier les goûts les plus subtils eux aussi...Cela dit, les meilleurs cuisiniers et cuisinières sont en général les meilleurs « affaires » Pensez-y avant de choisir un(e) partenaire !

 

Sophie :

 

Chère Uta, merci de ton témoignage positif et très intéressant.

Pourtant, je pense que tu as plus une sexualité très intense, qu’une réelle « hypersexualité ».

 

Ce terme désigne plutôt les femmes qui ne peuvent pas se passer de sexe, comme d’autres, d’alcool ou de cigarettes.

Leur « dose » est obligatoire, plusieurs fois par jour, et elles n’ont pas de prise sur leurs désirs. Il les domine, et ce ne sont pas elles qui le dominent…

C’est à ce moment-là que sa pose problème….

Par Uta et Sophie - Publié dans : Témoignages - Communauté : Réalités
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Dimanche 10 octobre 7 10 /10 /Oct 14:52

Propos hallucinants, et pas si rares que ca. Helas !

 

Pour ceux qui n'ont pas vu le documentaire "La cité du mâle".

 

Ames sensibles s'abstenir !

 

 

Par Sophie - Publié dans : Témoignages - Communauté : Réalités
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Samedi 21 août 6 21 /08 /Août 04:19

Sophie, je vous remercie de relayer cet appel sur vos blogs. Nous devons tout faire pour sauver Sakineh.

En mai 2006, une iranienne de 43 ans, Sakineh Ashtiani, est condamnée à recevoir 99 coups de fouet pour avoir eu une relation « illégale » avec deux hommes, après la mort de son mari. Un autre tribunal l’a condamnée en septembre de la même année à la lapidation pour adultère et complicité dans l’assassinat de son mari.

Torturée pour lui extorquer des aveux, cette jeune femme attend depuis quatre ans une mort atroce par lapidation.

Dans une mise en scène digne de l’abominable régime des mollahs, la télévision iranienne a diffusé les prétendus «aveux», extorquées par la torture, de la malheureuse. Sakineh Mohammadi-Ashtiani apparaît totalement couverte sous un tchador noir et déclare d’une voix tremblante avoir participé au meurtre de son époux et avoir eu une liaison avec le cousin de ce dernier. La diffusion de cette vidéo fait surtout craindre le pire pour son défenseur et ses deux enfants : son exécution pourrait être imminente.

On ne peut qu’être pétrifié d’horreur devant une telle barbarie, dans un pays où les femmes sont privées des droits les plus élémentaires.

Il faut sauver Sakineh, exiger sa libération immédiate, et aussi que la lapidation, une pratique qui, par définition, viole tous les droits humains, soit éliminée.

La lapidation est une pratique barbare… elle doit absolument cesser.

 

Sophie :

 

Je rappelle à ceux qui l'ignore que la lapidation consiste à entrrer la femme dans un trou, la tête seule restant hors du sol. Les hommes présents la tuent ensuite à coups de pierre. Ils n'arretent qu'à sa mort effective. C'est d'une barabrie sans nom.


Vous pouvez rejoindre plusieurs groupes de defense de Sakineh sur Facebook dont celui-ci, le plus important : http://www.facebook.com/pages/NO-ALLA-LAPIDAZIONE-DI-Sakineh-Mohammadi-Ashtiani/100315553355584?ref=search

Ou un groupe français : http://www.facebook.com/group.php?gid=147089085308126

 

Vous pouvez aussi ecrire

 A l'attention de Monsieur l'Ambassadeur
Seyed Mehdi MIRABOUTALEBI

Téléphone accueil : 01 40 69 79 00
Fax de l’Ambassade : 01 40 70 01 57
Courriel : cabinet@mfa.gov.ir

Adresse :
Ambassade de la République Islamique d’Iran
4, avenue d’Iéna
75116 Paris

 

Il faut agir, pour elle, et pour les milliers de femmes dans le meme cas, dont nous n'avons jamais connaissance, car bien etouffés par les regimes des islamistes, FOUS de Dieu.

Par Sophie et Chienne de Garde - Publié dans : Témoignages - Communauté : Réalités
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