Ce blog est destiné à toutes les femmes qui se sentent hypersexuelles.
Le plus souvent, elles en souffrent, car leur entourage les juge mal, 9 fois sur 10.
Elles se font traiter de salope, nympho, putain, j'en passe, et des meilleures....
Cet espace leur est ouvert, pour qu'elles parlent, qu'elles confient ce qui les fait souffrir, et ce dont elles ont honte, la plupart du temps.
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Pour une fois, je vous propose un témoignage positif sur une certaine forme d'hypersexualité. Uta vous raconte comment elle le vit.
Mon hypersexualité s'est révélée extrêmement soudaine. Je suis passée de "rien" ou presque, de la quasi inactivité sexuelle à "tout" ou presque.
L'agréable sensation que me procurait et me procure toujours mon mari, s'est en une même soirée, puis nuit, transformée en plaisir quasi « bestial » (à
prendre au second degré, évidemment). La jolie (parait-il) bourge coincée s'est comme d'un coup de baguette magique transformée en l'une des "salopes" les plus appréciée du milieu libertin (là,
c'est sur !). Je suis -en une fois- devenue une insatiable bisexuelle fontaine, et une non moins insatiable et multi-orgasmique amatrice de sexes de films pornos !
Reprenons l'avis du Doc. Je me masturbe peu. Le matin vite et bien fait sous ma douche. Le soir longuement et très bien fait dans ma baignoire.
L'après midi, tous les deux jours en moyenne, mon amant me fait l'amour seul ou accompagné. Entre deux, mon mari dont j'aime qu'il me masturbe, mais pas qu'il me
pénètre (pas d'orgasme ainsi avec lui) m'accompagne pour d'autres rencontres. Bref, sans rentrer dans les détails, je n'arrête pas.
Cela dit, je peux m'en passer. C'est rare, mais cela m'arrive. En revanche, je suis très excessive quand je « pratique ». Si nous sommes quarante filles
et garçons et que toutes et tous me plaisent, cela ne me pose absolument aucun problème psychique ou physique d’avoir une relation sexuelle avec toutes et tous, et avoir au moins un orgasme avec
chacune et chacun. Ne pas satisfaire mes partenaires m'est difficile à supporter.
« Baiser » est pour moi un partage. Faire jouir mon mari en me laissant pénétrer ou en le masturbant est un devoir et un plaisir quasi
« religieux » pour moi. Ma frustration est néanmoins pas moindre que la sienne, de n'y pas parvenir avec nos sexes respectifs.
Notre entente est intellectuelle. Son ciment est « l'habitude », en fait nos bonnes habitudes depuis notre adolescence. Sexuellement, par partenaires
interposés, mon mari m'a permis de tout connaître de ce dont j'ai envie, ou plus prosaïquement... besoin. L'abstinence n'est pas ma tasse de thé.
D'où cette véritable frénésie me vient-elle ? Assurément de cette première soirée et nuit d'orgasmes. C'était la première fois que j’avais une relation sexuelle
avec une femme. Une brune sublime, comme on n'en voit que sur les couvertures de Vogue... Son "mec", bel homme n'avait pas sa distinction, mais bien des blacks aimeraient avoir un pénis comme le
sien. Ce fut le premier homme de ma vie à me donner un orgasme avec son sexe. Un orgasme aussitôt suivi de je ne sais plus de combien. C'était il y a presque vingt ans. De ce soir là, je me suis
jurée qu'aucun homme en dehors de mon mari n'aurait le droit de me pénétrer sans me faire jouir.
« Il faut savoir s'en servir », gnan, gnan, gnan... Ce n'est pas faux, mais pour des femmes comme moi, c'est une question de diamètre et de taille. Et
pour en avoir discuté avec beaucoup de femmes, je ne suis vraiment pas la seule dans ce cas.
La cause ?...j'ai un grand vagin, ce qui ne se devine pas quand on me voit habillée ou nue. Je suis petite et mince ! Nul besoin d'être grand clerc ou grand médecin
pour faire le rapprochement lorsqu'une fille ne jouit pas. J'ai pourtant consulté au début de notre mariage.
« Vous êtes frigide, Madame ». Espèce de c...e (c'était "une" médecin).
Pour rester dans l'explication pseudo scientifique (ce n'est pas du tout mon métier) l'image que j'ai du Mâle n'est évidemment pas celle de mon mari, mais celle du
premier homme qui m'a donné du plaisir (et quel plaisir, wooaouh !).
Un « Homme », cela a un gros sexe. Le fait est que dans les partouzes, je fais rire mon mari et toutes celles et ceux avec qui je couche souvent et qui me connaissent donc très bien. Comme une guêpe sur une tartine de miel, je « fonce » d'un air fasciné vers tout mec bien pourvu. Un mec mignon, de 18 à 60 ans, de bonne taille, est certain de coucher avec moi.
Plus exactement, certain que je vais le baiser.
J'aime avoir le dessus sur un Homme. Je lui prend ce que mon mari n'est pas capable de me donner, ce c.. que j'adore. Mais c'est du partage. Bien rares sont
mes partenaires auxquels je n'ai pas rendu les orgasmes qu'ils m'ont donné. Donnant-Donnant !
Venons en à Hyper... Ce sont surtout les femmes qui sont hypersexuelles. C'est plus facile pour une femme. Beaucoup de femmes ne jouissent pas, par ignorance comme moi jusqu'à ce que je comprenne qu'il devait y avoir comptabilité physique pour que cela « fonctionne ».
Qu'elles fuyent les médecins et fassent comme moi : un bon club échangiste où faire leur « marché ». Que les femmes qui ne jouissent qu'une fois se libèrent. Rien n'est pire qu'une femme qui se retient. Elles jouissent... et se rhabillent. Quelle tristesse. Une nana peut jouir et être mal baisée !
Mon mari ne me fait pas jouir avec son « petit » (pour moi) sexe, mais on s'éclate avec quelques doigts, nos langues... et un minimum de bonne volonté et
de complicité. Maintenant, il est évident que je préfère les relations sexuelles avec mon amant ou tous mes partenaires. C'est un vrai bonheur de partager sa jouissance avec son sexe plutôt que
des doigts, une main ou un sex-toy.
Beaucoup de nanas utilisent les mecs bien montés comme des sex-toy. Pourquoi pas ?
Les hyper-sexuels existent, j'en rencontre régulièrement. Mais ils sont rares. Un mec hyper-sexuel avec une nana hyper sexuelle... c’est hyper sexuel ! Comme il n'est en rien pour moi extraordinaire de coucher avec plusieurs dizaines de personnes pendant un week end (j'aime que cela dure, ce n'est pas de gang bang dont je parle là, ce qui est un autre et très agréable plaisir aussi), plusieurs de mes partenaires réguliers ont la faculté de pouvoir, pendant le même espace temps que moi, coucher avec plusieurs dizaines de filles, plus des mecs quand ils sont bisexuels. Sans drogues à priori.
Stupéfiant. Je ne suis guère amatrice de films pornos, mais certains de ces garçons (dont mon amant JJ...) ont été débauchés par des producteurs pour quelques scènes difficiles à jouer par des hommes « normaux ».
Ma conclusion, pour autant qu'il soit possible d'en faire une, est toute simple. Plus vous avez de relations sexuelles, plus ca se passe bien, et plus vous attirez
celles et ceux qui font bien l’amour.
« On » se reconnaît entre nous, comme nous (mecs et nanas) nous nous trompons rarement en regardant se déshabiller une femme ou un homme (nous savons si cela va être bien ou bof...)
Plus vous êtes satisfaites, plus elles/ils le sentent. Il est évident que dans ce cas là... n'importe qui devient « hypersexuel(le) ».
Le plaisir est extrême. Il n'est pas quantitatif, mais il le devient. En un tel cas, le qualitatif amène à la recherche quantitative. Le summum de ce type de
relations (en général avec lendemains, car les partenaires essayent de se revoir), est d'arriver à des relations sexuelles qui mènent à l'extase (mais c'est une autre histoire que celle-là où les
partenaires jouissent à l'extrême... sans même plus se toucher sexuellement).
D'aucuns comparent la bouffe au sexe. Erreur. Même subtil, le meilleur des chefs n'aura jamais assez de recettes possibles à vous offrir pour varier les goûts les plus subtils eux aussi...Cela dit, les meilleurs cuisiniers et cuisinières sont en général les meilleurs « affaires » Pensez-y avant de choisir un(e) partenaire !
Sophie :
Chère Uta, merci de ton témoignage positif et très intéressant.
Pourtant, je pense que tu as plus une sexualité très intense, qu’une réelle « hypersexualité ».
Ce terme désigne plutôt les femmes qui ne peuvent pas se passer de sexe, comme d’autres, d’alcool ou de cigarettes.
Leur « dose » est obligatoire, plusieurs fois par jour, et elles n’ont pas de prise sur leurs désirs. Il les domine, et ce ne sont pas elles qui le dominent…
C’est à ce moment-là que sa pose problème….
Ils ont réussi là où beaucoup échouent...Comme toi et Olga. Mais je pense que vous restez des exceptions...
Mais uto a toute saplace dans ce triangle, il est le complice de uta et de JJ
Jacqueline