Ce blog est destiné à toutes les femmes qui se sentent
hypersexuelles. Le plus souvent, elles en souffrent, car leur entourage les juge
mal, 9 fois sur 10. Elles se font traiter de salope, nympho, putain, j'en passe, et
des meilleures.... Cet espace leur est ouvert, pour qu'elles parlent, qu'elles confient ce qui les fait souffrir, et ce dont elles ont honte, la
plupart du temps.
Présentation
:
Les femmes hypersexuelles
:
Ce blog est un espace de liberté, où les femmes hypersexuelles pourront parler comme elles le veulent, se confier, et nous faire comprendre comment elles en arrivent à être ce qu'elle sont.
Eh oui ! Dans ce domaine aussi la mixité progresse ! A ceci près que la dépendance au sexe n’est pas tout à fait la même chez les hommes et chez les femmes. Les femmes comme les hommes Traditionnellement, ce sont les acteurs américains qui entraient en clinique pour soigner leur sex addiction, et non les actrices. L’évolution de la société fait cependant que, aujourd’hui, les filles se conduisent de plus en plus comme les garçons. Résultat : elles ne sont pas épargnées par la dépendance au sexe, à ne pas confondre avec la nymphomanie qui n’en est qu’une des formes, ni avec une sexualité débridée qui peut, elle aussi, dissocier les relations physiques du sentiment amoureux. Selon le psychologue américain Patrick Carnes, qui a fait découvrir cette addiction au public, la dépendance sexuelle « est un comportement compulsif qui domine tous les aspects de la vie de la personne qui en souffre ». Elle se caractérise par une tension, une pulsion, à laquelle on ne peut pas résister. Cette sensation de perte de contrôle n’est pas si rare dans le désir amoureux, mais elle s’accompagne, dans l’addiction, d’une répétition fréquente de la compulsion et, surtout, d’un intense malaise […]
Une nouvelle façon de diagnostiquer l’hypersexualité est proposée au canada. Je vous laisse vous tester…. Un nouveau diagnostic, le trouble hypersexualité, est proposé pour la cinquième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-V) (1) dont la publication est prévue pour 2013. Ce trouble est proposé dans la catégorie « Troubles sexuels et d'identité de genre » (une catégorisation dans la catégorie Addictions comportementales n'a pas été retenue). Les critères diagnostiques proposés pour ce trouble sont les suivants : A. Fantasmes, pulsions sexuelles et comportements sexuels récurrents et intenses, pendant une période d'au moins six mois, en association avec 4 ou plus des 5 critères suivants : 1. Une grande partie du temps est utilisée par les fantasmes et pulsions sexuelles et par la planification et l'accomplissement d'une activité sexuelle. 2. Se livrer répétitivement à des fantasmes, pulsions et comportements sexuels en réponse à des états d'humeur dysphorique (ex. anxiété, dépression, ennui, irritabilité). 3. Se livrer répétitivement à des fantasmes, pulsions et comportements sexuels en réponse à des événements stressants de la vie. 4. Efforts […]
Merci pour votre blog que je découvre en même temps que l'hypersexualité... Je ne savais même pas qu'il y avait un nom pour cela. Pour moi, c'est juste avoir une sexualité épanouie, sans culpabiliser... La vie, quoi ! Aujourd'hui, je découvre que l'on m'a catégorisée... Le regard des autres, je m'en suis toujours fichu, et il n'y a pas de raison que cela change aujourd'hui. Voici une citation d'Ovidie dans laquelle je me retrouve entièrement : “Si chaque femme recevais un euro à chaque fois qu’elle se fait traiter de “salope” (que ce soit de face ou dans le dos), assurez vous que le monde serait peuplé de femmes millionnaires. Le monde est divisé en deux : les femmes respectables qui se la bouclent, et les salopes. Les femmes qui l’ouvrent un peu trop, qui décident de faire ce qu’elles veulent de leur corps, qui sont un peu trop indépendantes, qui s’habillent comme elles l’entendent, qui couchent avec quelqu’un dont elles ne sont pas amoureuses, qui font des plans à plusieurs avec leur mari, qui parlent librement de sexe, qui se masturbent, qui fantasment, qui sont soumises ou dominatrices, qui osent dire non, qui couchent avec d’autres femmes, qui ne sont pas soumises aux […]
Ce soir, je vous livre le terrible, mais émouvant témoignage de Sortylège. Je vous laisse commenter ses propos. Bonjour, J'étais un exhibitionniste exclusif et compulsif qui vivait très mal cette paraphile interdite par la loi et la morale. Je me masturbais tout nu devant les filles pubères et les jeunes femmes. J'ai, durant ma vie, usé de nombreuses thérapies dont les antihormones des les années 67-69, puis plus tard, mais aussi de l'hypnose etc. Pour finir, j’ai renoncé il y a environ vingt ans à toute forme de sexualité tournée vers les autres avec une castration chirurgicale dont j'espérais beaucoup. Il faut, pour se faire castrer, à mon avis, avoir très envie de se débarrasser de la sexualité compromettante, car les débuts de la castration sont difficiles pendant quelques mois, je crois. Après tout, je ne vois pas en quoi la castration physique nuirait à la santé physique et à l'équilibre mental d'un exhibitionniste de 60 ans. Il est même bien possible que j'aurais du me faire castrer dés mon adolescence, si je n'avais pas eu aussi peur des conséquences de la castration, lorsque j'ai constaté que l'exhibitionnisme envahissait invariablement ma vie sexuelle et affective. […]
Le but de ce blog est de traiter de l’hypersexualité féminine. Pourquoi ? Car elle est souvent mal vécue par les femmes, et surtout, par leur entourage. Une femme qui a un « grand appétit » sexuel est souvent mal considérée, traitée de tous les noms et indigne d’avoir sa place dans la société parmi les gens « biens ». Il n’en n’est pas de même avec l’hypersexualité masculine, qui est le plus souvent valorisée. Il n’empêche que certains hommes la vivent mal. C’est pourquoi je publie aussi cet article qui leur est consacré. Hypersexualité masculine est un terme ambigu qui recouvre trois situations très différentes : le rêve d'exploits sexuels l'obsession sexuelle la pulsion hypersexuelle, c'est-à-dire l'excès de désir sexuel. LE REVE HYPERSEXUEL C'est le fantasme du "héros phallique", intrépide et dominateur, victorieux de la prétendue guerre des sexes. Ce mâle superpuissant a une érection admirable par sa dimension et sa durée, qui prouve, en se donnant un plaisir intense et en subjuguant des partenaires en pâmoison ou criant grâce, la supériorité masculine : c'est le rêve du "phallus dans sa splendeur" ! Ce fantasme engendre un comportement de recherche à la fois de la […]
L’hypersexualité des jeunes émeut et fait débat Par Anna Lietti Entre enfance et adolescence, sexualité et pornographie, consentement et contrainte, exploration d’une zone grise. Existent-ils encore, les amoureux de Brassens, ceux qui se bécotent sur les bancs publics ? Sûr que oui. Mais les passants ne leur jettent plus que des regards attendris. Non loin d’eux dans le parc, un autre type de couple a pris le relais en tant qu’objet de scandale : il ne s’agit plus d’amoureux mais de «fuck friends». Ils sont parfois si jeunes qu’on ne sait plus s’il faut parler d’enfants ou d’adolescents. Et leur activité buccale s’est nettement déplacée : dans la panoplie de leurs jeux sexuels, la « pipe » (fellation) s’est quasiment substituée à la « pelle » (« french kiss »). L’hypersexualisation des jeunes émeut et fait débat. Au Québec, elle fait l’objet d’un programme de prévention gouvernemental, tandis que des voix s’élèvent pour affirmer que le phénomène est exagéré (lire ci-dessous). Le fait est que, comme on parle de pratiques sexuelles consentantes, il échappe en grande partie à la statistique et alimente plus d’une légende urbaine. L’écolière qui distribue des « pipes » dans les […]
Bonjour à toutes, et à tous Ce message à s'adresse à toutes celles qui sont privées de sexe, souvent malgré elles, et qui sont dotées d’un gros appétit sexuel. Je m'appelle Cécile, j'ai 49 ans, j'habite dans le nord, à Armentières, je suis mariée depuis 25 ans, j'ai deux enfants, et je suis comptable dans une entreprise moyenne. Mon mari travail également et, à quelques passion extra-professionnelles (pétanque, pêche...) Mon mari et moi nous entendons très bien malgré quelque sujets tabou, comme le sexe par exemple. Je sais pertinemment qu'il n'est pas impuissant, et qu'il ne va pas voir ailleurs. Il n'a aucun trouble physique, mais malgré cela, il m'a déjà confié qu'il pourrait se passer plus ou moins de sexe. Quatre ou cinq fois par ans lui suffisent. Ce qui n'est pas du tout mon cas... Je me considère comme une hypersexuelle, toujours envahie par de grands désirs intimes. Durant quelques années, j’ai pris sur moi en me disant que l'âge et le temps calmeraient mes ardeurs, mais rien n'y fait. Je me retrouve très souvent avec quelques copines, dont deux d'entre elles sont dans le même cas que moi. Nous en avions plusieurs fois parlé, jusqu'à ce que l'une d'entre elles m'avoue […]
Quand les mentalités changeront-elles enfin ? Une fois de plus, je me pose la question ce soir, au point de ne pas arriver à dormir. Alors, à deux heures du matin, je me relève pour écrire… Ce soir, l’un des rares contacts msn de ma liste que je ne connais pas dans la « vraie vie » m’interpelle au sujet de ma phrase d’accueil. Celle-ci indique que je ne fais plus confiance aux hommes. Comme je n’ai pas envie de me lancer dans de longs discours, je lui dis d’aller sur le blog lire mes textes. Il revient, en me disant d’emblée : « Moi, j’ai été violé à 15 ans par un homme, et à 35 par une femme. Et je n’en fais pas toute une histoire ! » Comme je lui fais remarquer que chaque personne réagit différent, il me rétorque : « Au moins, les hommes n’en font pas tout un foin, comme les femmes… » (A tort d’ailleurs, puisque qu’on reconnait encore moins le viol des hommes que celui des femmes...) Là, j’ai senti la moutarde me monter au nez.. Alors, selon lui, il est inutile de faire tout un foin quand on a été violé ??? Moi, je l’ai interprété comme un déni de la souffrance ressentie. Mais là, il ajoute : « quand on ne veut pas être violée, on agit en conséquence. » Sous-entendu, « tu […]
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