Ce blog est destiné à toutes les femmes qui se sentent
hypersexuelles. Le plus souvent, elles en souffrent, car leur entourage les juge
mal, 9 fois sur 10. Elles se font traiter de salope, nympho, putain, j'en passe, et
des meilleures.... Cet espace leur est ouvert, pour qu'elles parlent, qu'elles confient ce qui les fait souffrir, et ce dont elles ont honte, la
plupart du temps.
Présentation
:
Les femmes hypersexuelles
:
Ce blog est un espace de liberté, où les femmes hypersexuelles pourront parler comme elles le veulent, se confier, et nous faire comprendre comment elles en arrivent à être ce qu'elle sont.
Il convient de ne pas confondre la nymphomanie et l'hypersexualité. De nos jours encore, il n’est pas rare qu’une femme qui vit librement sa sexualité et qui connaît de nombreux partenaires se fasse abusivement qualifier de "nymphomane". Comme s’il s’agissait d’une insulte ! En fait, ce terme décrit un trouble psychologique dont la définition reste encore floue, et qui peut être vécu comme une grande souffrance. Le mot nymphomanie vient de Nymphe, qui est une divinité féminine de l'Antiquité gréco-romaine, personnifiant divers aspects de la nature et représentée le plus souvent sous les traits d'une jeune fille nue, et de manie, du latin mania signifiant folie. Parce que les critères de normalité en matière de sexualité restent régis par des conventions sociales, et parce que les besoins diffèrent selon les individus, il reste délicat de déterminer ce qu’est exactement la nymphomanie. Au 19ème siècle, la nymphomanie, exagération chez la femme des désirs, de l'appétit sexuel, est considérée par le sexologue allemand Kraft Ebing comme une maladie. Les femmes qui souffraient d’un appétit sexuel, jugé trop féroce par les normes de la société, pouvaient être internées, sexuellement […]
Pour Alfred Kinsey, un des sexologues les plus célèbres du XXe siècle, la nymphomane c’est «quelqu’un qui fait l’amour plus souvent que vous » . Rien à voir avec une désaxée frigide. Et pourtant, la mauvaise réputation des nymphomanes a la vie dure. Le médecin Martin Winckler tient sur Arte Radio, une chronique de ses consultations, dont certaines traitent du désir. « L'autre jour au cabinet, une jeune femme est venue me voir, raconte-t-il, et elle m'a demandé : "J'aimerais savoir si je suis normale. C'est quelque chose d'intime, ça concerne ma vie intime. Je ne suis pas sûre que ça soit médical ce que je vais vous dire… Voilà, j'ai quatre amants. Mon premier amant, c'est mon mari, je vis avec lui, je l'aime et à priori on est parfaitement heureux. Mon deuxième amant, dont je suis follement amoureuse, est marié et nous vivons un amour platonique. On se passe des coups de fil passionnés, on s'écrit des courriers électroniques érotiques, quand on se voit on se touche, on se caresse, mais on ne fait pas l'amour. Mon troisième amant, c'est quelqu'un que je n'aime pas du tout mais régulièrement je passe le voir et je fais l'amour comme une folle avec lui. Avec lui, je ne sais pas […]
Sophie, je vous remercie de relayer cet appel sur vos blogs. Nous devons tout faire pour sauver Sakineh. En mai 2006, une iranienne de 43 ans, Sakineh Ashtiani, est condamnée à recevoir 99 coups de fouet pour avoir eu une relation « illégale » avec deux hommes, après la mort de son mari. Un autre tribunal l’a condamnée en septembre de la même année à la lapidation pour adultère et complicité dans l’assassinat de son mari. Torturée pour lui extorquer des aveux, cette jeune femme attend depuis quatre ans une mort atroce par lapidation. Dans une mise en scène digne de l’abominable régime des mollahs, la télévision iranienne a diffusé les prétendus «aveux», extorquées par la torture, de la malheureuse. Sakineh Mohammadi-Ashtiani apparaît totalement couverte sous un tchador noir et déclare d’une voix tremblante avoir participé au meurtre de son époux et avoir eu une liaison avec le cousin de ce dernier. La diffusion de cette vidéo fait surtout craindre le pire pour son défenseur et ses deux enfants : son exécution pourrait être imminente. On ne peut qu’être pétrifié d’horreur devant une telle barbarie, dans un pays où les femmes sont privées des droits les plus élémentaires. Il fau […]
Ce matin, Sophie, je vous lance un appel à l’aide. Je ne sais plus quoi faire, je ne sais plus que penser ! Je me dégoute, j’ai honte de moi. Je suis nulle, je joue les affranchies, les femmes libérées, mais je ne suis rien de tout ça ! En bref, mon histoire ressemble un peu à celles de Marine. J’ai été victime à plusieurs reprises de viols et d’agressions sexuelles. Ensuite, je n’ai plus eu de sexualité du tout. Et je me suis forcée. J’ai retrouvé un certain plaisir. Surtout, celui de mettre les hommes sous mon pouvoir. Les mecs, on les tient par la bite. Pardon pour l’expression, mais elle est juste. Aujourd’hui, je n’en peux plus, je ne sais plus quoi faire. Je multiplie sans cesse les rencontres d’un soir. Même pas. D’une heure, ou de quelques minutes. Je ne peux m’empêcher de séduire. Dimanche, j’étais à une fête, Eh bien, j’ai passé ma journée à trouver ma « proie » et à l’achever. Dès qu’on me présente les gens qui sont là, je repère les deux ou trois hommes « consommables », et je fais le nécessaire. Il y en a toujours un qui dit « oui ». Il me prend là où c’est possible, dans une voiture, dans un coin de jardin. Souvent, j’ai du plaisir. Je ne veux jamais les revoir. […]
Je lis tous ces messages de femmes surtout confrontées à une hypersexualité, et en ayant honte. Certaines avec une famille (enfants) et la peur d'être découverte et insultée avec des conséquences néfastes pour sa famille. Je suis étonné, car ma femme a des amants depuis onze ans, et nous avons trois enfants, mais personne ne se doute de quoi que ce soit. Elle est hypersexuelle, et a besoin de plusieurs relations par jour. Je ne peux pas suivre son rythme, à mon grand regret. Tout a commencé quand elle a eu un amant sur son lieu de travail, sans que je m'en doute. J'ai donc été cocu pendant deux ans. Mais elle a fini par me l'avouer, et c'est alors que j'ai été très excité. On en a parlé, et je lui ai donné toute liberté d’avoir cet amant… Peu après, elle a rompu avec lui, car finalement, elle s’est aperçue qu’il ne lui convenait pas. Alors, ensemble, on a cherché un successeur. Elle a accepté mon idée de ne plus se cacher de moi, mais de faire l’amour avec lui en ma présence, ou de me prévenir, et de me raconter quand elle se faisait aimer sans moi. Puis elle y a pris gout de plus en plus, et moi, encore plus. Depuis maintenant six ans et demi, je suis un véritable époux […]
APPEL A TEMOINS Un journaliste souhaite réaliser un article sur les femmes ayant recours aux services d’un ESCORT – BOY Si vous êtes une femme dans cette situation, merci de contacter Laurent sur son adresse mail : tml@hotmail.fr Votre anonymat est garanti, bien évidemment ! Cette demande est sérieuse, il ne s’agit pas d’une mauvaise blague….
Addiction sexuelle : la fin d’un tabou ? Interview du Dr. Nathalie Dudoret L'addiction sexuelle semble de plus en plus répandue. Multiplication des supports pornographiques, levée des tabous ? Doctissimo a posé la question au Dr Nathalie Dudoret, médecin sexologue, qui détaille le tableau et le traitement de cette maladie. Doctissimo : Qu'entend-on par addiction sexuelle ? Dr Nathalie Dudoret : L'addiction sexuelle concerne des patients qui présentent une "consommation" excessive d'orgasmes. C'est un type de conduite que le sujet est poussé à accomplir par une contrainte interne. Lorsque l'activité n'est pas accomplie, le sujet ressent une montée d'anxiété. La question reste à savoir quand on peut parler d'excès… C'est difficile mais chez les addicts, la consommation pluriquotidienne (qui peut atteindre 12 à 15 orgasmes) est associée à un syndrome de manque, caractéristique de nombreuses addictions : douleur thoracique, abdominale, insomnie, etc. De plus, cette consommation d'orgasme est généralement associée à un syndrome anxio-dépressif. L'orgasme jouant alors le rôle d'anxiolytique naturel. Doctissimo : L'addiction sexuelle nécessite l'atteinte de l'orgasme, donc… Dr […]
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