Ce blog est destiné à toutes les femmes qui se sentent hypersexuelles.
Le plus souvent, elles en souffrent, car leur entourage les juge mal, 9 fois sur 10.
Elles se font traiter de salope, nympho, putain, j'en passe, et des meilleures....
Cet espace leur est ouvert, pour qu'elles parlent, qu'elles confient ce qui les fait souffrir, et ce dont elles ont honte, la plupart du temps.
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Certains doivent être déçus, en arrivant sur ce blog, de constater qu'il ne contient pas des textes ou de photos érotiques ou
pornographiques.
Mais ce n'est pas le but. J'ai voulu ce blog, espace de liberté pour toutes les femmes (mais aussi les hommes qui ont leur avis sur le sujet) qui ont une sexualité très developpée, et qui
l'assument.
Mais aussi pour celles qui ne l'assument pas ou mal.
La plupart du temps, c'est à cause de leur entourage, qui les condamne sans savoir ce qu'elles ressentent, qui ignore les raisons de leur hyper activité sexuelle.
Puissent les articles et commentaires publiés ici leur ouvrir les yeux.
Ce blog traite aussi d'un thème douloureux : le viol. En effet, beaucoup de femmes hypersexuelles ont été violées. Ce sujet est donc abordé aussi, en toute liberté. Si vous n'avez jamais osé
parler, faites-le ici.
D'autres l'ont deja fait. Ansi, vous pourrez peut-être trouver le courage de parler, de vous libérer de cet énorme poids qui vous pourrit la vie.
Il est aussi question plus généralement des violences faites aux femmes, les femmes battues, les femmes violées par leur mari.
Comme il arrive aussi que des hommes soient victimes, la parole leur bien sur ouverte ici.
Ce blog ne vivra que par vos témoignages. Je vous encourage donc à m'écrire à cette adresse : cplemixte973@yahoo.fr.
Vous pouvez vous livrer sans honte ou sans tabou : ici, personne ne vous jugera.
Je publierai vos textes, vos témoignages.
Ensuite, j'encourage tous et toutes à leur répondre.
Il est plus que temps de nous délivrer de ces tabous, et de tenter de faire évoluer les mentalités.
J'espère que beaucoup viendront appuyer cette magnifique initiative. Merci Sophie!
http://philetolga.erog.fr/
merci
Je pose le problème des limites entre libertinage et hypersexualité chez une femme. Moi je me sens libertine. Quelle est la différence d'après toi et les autres lecteurs? Je donerai mon exemple personnel pour illustrer ma question.
Je serais contente de lire d'autres témoignages sur votre blog, car si je savais que je n'avais pas une sexualité normale, je n'osais pas en parler autour de moi. En fait, les hommes aiment les nymphomanes, ça les arrange, mais ils n'ont jamais avec nous une relation sérieuse. Ils se servent de nous pour tirer leur coup, et basta. On est juste bonne à ça. Alors, qu'en fait, moi je recherche l'affection, la tendresse, et je multiplie les aventures, en prenant des risques sans cesse. Après, je me sens sale, encore plus mal dans ma peau, mais je n'aime pas mon corps. Là, j'ai décidé de m'en sortir. Je crois en fait que quand je travaille, je n'ai pas le temps d'y penser. Mais dés que je n'ai plus d'occupation, ça me reprend. Et le pire c'est qu'après les mecs ils ne comprennent pas que je ne veux plus d'eux. Ils veulent toujours recommencer. C'est la plupart du temps des mecs mariés, qui ne voudraient pas que leur femme le sache. Et moi comme une conne, je ne fais jamais d'histoires. Mais je suis vraiment trop nulle. J'ai toujours râté ma vie sentimentale, et ma vie sexuelle aussi. Je suis stérile à cause d'une MST que j'ai attrappée avec un mec qui n'en avait rien à foutre de moi, encore un de plus. Moi aussi je suis allée à l'école tenue par des religieuses, et je me demande si ça ne vient pas de là.
Merci Sophie pour votre idée de blog, ça fait du bien même si j'ai honte de moi.
Dans un thé dansant j'ai rencontré un partenaire, la trentaine, congolais, il s'appelle Charles... Au départ ce fut le plaisir de la danse, un super cavalier ! Il n'a invité que moi ! Je me sentais tellement confortable dans ses bras musclés, il guidait à merveille ! Alors le son de sa voix, le contact de son corps jeune, viril, ça me grisait !
J'ai laissé aller, me suis laissée serrer, abandonnée contre lui. J'étais sur un nuage ! Envie que ce temps ne finisse pas.
Je l'ai suivi. Avec son copain ils logent ensemble. Il m'a embrassé, j'ai voulu sa bouche, sa langue. Ses caresses de plus en plus osées me faisaient frémir !
Son torse nu contre ma poitrine, j'avais envie de me donner, de lui appartenir !
Voilà comment ça a commencé. Nous nous revoyons régulièrement, Charles me fait l'amour comme un dieu. Alors, pas d'état d'âme, profitons du moment de bonheur, tant que ça dure!
Me voilà rajeunie, avec un sommeil parfait, une digestion impeccable. Oui, faire l'amour est excellent pour la santé !!!
Vive l'infidélité !! Qu'en pensez vous? je devrais avoir honte, me considérer comme une grand-mère indigne? J'espère ne pas vous choquer.
Vous semblez trés heureuse, alors, profitez-en !!! Cela semble vous réussir à merveille, pourquoi ne pas continuer !
Bravo pour ce blog, c'est très intéressant!
Aucun sujet habituellement tabou ne l'est ici. La parole est libre.
Si vous êtes concernée, ou quelqu'un de votre entourage, vous pouvez vous exprimer comme vous le souhaitez.
Mais ce blog ne vivra et ne sera utile qu s'il est connu. Faites-le connaitre autour de vous !!!
Bisous à vous,
Sophie
Je m’appelle Françoise, mon père buvait et frappait ma mère. A la fin, il la frappait toutes les semaines. Ma mère en a eu marre. Elle a rencontré quelqu'un d'autre et a quitté mon père. A partir de ce moment-là, j'ai été ballottée d'un coin à l'autre (chez mon père, chez ma mère). L'homme qui vivait avec ma mère était violent avec moi et mes frères et soeurs.
Adolescente, je n'ai pas fait des choses de mon âge. Ma mère préférait que je n'aille pas à l'école pour l'aider à nettoyer. Je ne pouvais pas sortir. C'est pour cela que je n'ai pas fait de hautes études.
J'ai rencontré mon mari à 16 ans 1/2. Mon mari a demandé ma main à ma mère et ma mère m'a poussée dans ses bras comme elle l'a fait avec mes autres soeurs. Au début, ce n'était pas l'amour fou mais j'ai surtout été attirée par ses parents. Ils étaient très gentils avec moi, ils me donnaient l'affection que je n'ai pas eue de mes parents. Je me suis fiancée à 17 ans. Je pensais que je vivais un conte de fées. Sa famille m'offrait plein de cadeaux et l'affection que je n'avais pas eue de ma famille. J'ai arrêté d'aller à l'école et j'ai commencé à travailler. Il voulait déjà à ce moment-là m'empêcher de travailler car on allait bientôt se marier. Puis j'ai reçu mon préavis. Dès les fiançailles, c'est lui et sa famille qui m'achetaient mes vêtements à leur goût. Je n'ai pas pris attention car ce qu'ils m'achetaient me plaisait et ma mère ne nous achetait jamais de vêtements. On a eu quelques petites querelles mais rien qui m'ai alarmé. Je me suis mariée à 18 ans. J'ai eu ma première claque deux mois après le mariage car j'ai voulu aller passer un entretien d'embauche et il ne voulait pas. Pour lui, une femme devait rester à la maison. J'ai quand même passé l'examen mais je l'ai raté.
Puis quand j'ai été enceinte, il a commencé à devenir vulgaire. Quand je devais aller chez le gynécologue, il disait : "Tu vas encore écarter les jambes..." Quand j'ai été enceinte de 7 mois, il m'a poussé dans les escaliers. Après l'hôpital, je suis retournée chez ma mère mais mon mari et ma belle-famille m'ont convaincu de réessayer pour le bébé. Ma mère aussi me faisait comprendre que je ne pourrais pas rester chez elle. Je suis donc retournée. Jusqu'à la naissance, ça a été, il a été correct. Après l'accouchement, j'ai fait une dépression car je voyais que mes beaux-parents prenaient emprise sur mon fils et cela a continué. Après quelques mois, je me suis doutée qu'il avait une maîtresse et je lui ai demandé. Il a alors vu que je me "réveillais" et les disputes ont commencé "Pute comme ta mère".
Puis il s'est installé comme médium. Il recevait des gens même la nuit. Je n'avais que le droit de me taire et de faire du café en pleine nuit. Ma maison était toujours remplie mais je n'avais rien à dire. Je devais me taire, ne pas répondre sinon il s'énervait. Ma belle-famille me disait de ne pas répondre car il était malade des nerfs. C'est toujours ce qu'on me disait. Tous les mois, on avait une querelle, il me traitait de tous les noms ("sale bâtarde", "pute", "tu ne sais rien faire", ...) . Quand Mathieu a eu 11 mois, j'ai recommencé à travailler. Au début, il a bien voulu puis il a voulu que j'arrête. Puis j'ai de nouveau été enceinte et il a voulu que j'avorte et moi pas. Et là, a commencé le calvaire. Après les grossièretés et les disputes sont venus les coups parce que je lui ai tenu tête. Puis j'ai vu des indices qui prouvaient qu'il avait une maîtresse. Et cela ne lui plaisait pas.
A 6 mois de grossesse, j'ai dû arrêter de travailler parce qu'il y avait des complications. Sa violence a augmenté. Ses parents se mettaient toujours entre nous. Une fois, il a même frappé son père. Mais il y avait encore des accalmies. Ca allait pendant deux ou trois mois puis il remettait cela. Je n'avais rien à dire. J'en avais marre d'aller manger tous les jours chez sa mère. Je voulais avoir mon intimité mais il disait qu'on ferait comme lui, il dirait. Puis il a voulu une petite fille mais je ne voulais pas un troisième enfant avec une vie pareille. Mais il m'a dit que cela irait mieux et je me suis laissée convaincre. Mais il m'humiliait de plus en plus, il me faisait mettre à genoux devant les gens. Sa violence augmentait.
Quand les enfants ont commencé à grandir, la violence devenait de plus en plus régulière et plus forte et devant les enfants. Le dernier mois, il ne se calmait plus. Plusieurs jours d'affilée, il m'empêchait de dormir... J'avais peur, je ne dormais plus, je ne mangeais plus correctement. Les enfants aussi avaient peur. Il m'obligeait à rester nue devant les enfants et les coups qu'il me donnait étaient apparents.
Je pensais déjà partir depuis un moment mais ce qui m'a poussée à partir, c'est qu'il ait frappé à coups de ceinture les enfants parce qu'ils ne trouvaient pas la télécommande, qu'il ait fait mettre les garçons à quatre pattes et demander à la gamine de les frapper. Et aussi le fait que des voisins ont prévenu la police car ils ont entendu tout ce bordel. Il a été en fureur et un de ses amis m'a dit de partir car sinon il me tuerait. La gendarmerie m'a conduite au Collectif pour Femmes Battues.
Ce jour-là, si je n'étais pas partie, soit c'était lui qui me tuait soit c'était moi tellement j'avais des idées noires dans la tête. J'avais vraiment de la haine pour lui les derniers temps, je n'avais plus envie de lui parler. Il y avait comme une planche en bois entre nous.
Quand j'étais dans la voiture des gendarmes pour venir au refuge, mes enfants et moi avons ressenti du soulagement, un sentiment de sécurité. J'ai été très bien accueillie au refuge. Au début, j'ai déprimé car j'ai réalisé que c'était moi qui devais quitter ma maison et que je privais mes enfants de confort. Puis avec le temps, l'accueil des femmes, ça s'est passé. Les femmes me proposaient de m'accompagner dans mes démarches. On était un bon groupe et petit à petit, j'ai surmonté ma peur. Je revivais. D'ailleurs, je serais bien restée au refuge, je me sentais chez moi. J'ai repris confiance en moi, j'ai extériorisé ma personnalité. J'avais envie de couper mes cheveux, je les coupais. J'avais envie de sortir, je sortais.
Mes enfants ont beaucoup été aidé aussi. On les a aidé à s'extérioriser, à parler de leurs émotions et on les a aussi aidé au point de vue scolaire. Normalement, on parlait d'enseignement spécial pour un de mes fils. Mais grâce aux éducatrices, mes enfants s'en sont sortis. Ils ont bien été pris en mains et même maintenant si j'ai un problème avec eux, je sais que je peux compter sur elles. Au fil des mois que je suis restée au refuge, je me sentais vraiment bien, je me retrouvais moi-même. Puis j'ai commencé à chercher un logement. J'ai trouvé une maison. Elle m'a plu directement. Maintenant je vis seule avec mes trois enfants. On est bien, on n'entend plus crier à nos oreilles, on n'a plus peur dès qu'on se lève, on est à l'aise. On a un mode de vie normale. Je suis toujours en contact avec des femmes qui étaient hébergées en même temps que moi. Je passe souvent au refuge et j'en suis très contente. Je ne me suis jamais sentie aussi bien que maintenant, c'est une vraie renaissance pour moi et mes enfants. Et, bien qu'il continue à me harceler, nous gardons le dessus. C'est la première fois que je pars et j'irai jusqu'au bout. Quand je l'ai en face de moi, j'ose lui répondre car on m'a beaucoup aidée à m'affranchir de ma peur au ventre.
Bien sûr, je n'irai jamais au bout de ce fantasme, je voulais savoir si des femmes avaient le même et comment elles géraient cela ?
Merci de votre aide je n'ose pas en parler.
Accepteriez-vous que je le publie sur mon blog ?
Amicalement
Sophie
Bonsoir, oui, oui vous pouvez je suis pour le partage. Aucun souci vous pouvez le mettre sur votre blog il convient parfaitement qu sujet que vous traitez.
Bonne soirée. Amicalement. Tendresse
Mais je peux au moins vous dire que vous n'etes pas anormale !
Un article que je viens de lire sur le blog d'Olga me pousse à vous suggérer Sophie de traiter de la sexualité des femmes enceinte, avec le cas plus particlier des hypersexuelles. Qu'en pensez vous?
Dominique
Bravo pour ce blog très intéressant J'espère qu'il a le succès qu'il mérite. Bises
Je publie Karine dès ce soir, et je m'excuse auprès d'elle de ne pas l'avoir fait plus tot...
Or, ce blog n'est pas un endroit où les internautes règlent leurs compte. Je ne veux pas publier des accusations dont je n'ai pas la preuve. Ce blog est un espace de liberté de parole, certes, mais pas pour regler des comptes personnels.
Je comprends votre détresse, mais ce qui est arrivé à votre fille n'est pas forcément lié à celle que vous accusez.
Si ce n'était pas elle, ce serait n'importe quelle autre femme qui a l'audace de s'habiller en jupe ou en robe dans des cités comme la votre qui serait prise en "justification" de leurs actes odieux... Ils ont besoin d'alibi pour justifier leurs crime, et ils prennent n'importe quoi, n'importe qui.
Ecrivez-moi en direct, s'il vous plait, que l'on discute au moins par mail.
Je vous publierai sans problème sur le seul sujet de votre fille, mais si vous ne designez pas ici de coupables indirects.
Les vrais coupables sont tout de meme les violeurs, personne ne les a obligés à violer votre fille. Ils sont seuls responsables de leurs actes criminels, d'ailleurs en totale contradiction avec leurs soi-disant convictions religieuses.
Je vais donc rappeler le cas de ma fille Houria, qui avait 16 ans en décembre 2007 quand elle a subi une tournante dans une cave de la cité de notre ville. Ma pauvre petite était vierge, elle a tout subi ce jour là, pendant toute une après-midi Ils l’ont choisi parce qu’elle s’habillait court, elel le faisait seulement pour attirer l'attention des garçons qui ne parlaient que de cette femme d'un beau quartier de la ville qui était venue dans la cité quelques jours avant pour des débauches.
Quand ils ont conduite Houria dans cette cave et qu’elle a voulu protester, ils lui ont dit « Ferme la, t’es habillée comme YYY, vous êtes toutes des putes, alors tu vas y passer comme elle »
Houria n’a pas voulu porter plainte Houria était une fille brillante, intelligente, notre fierté. Elle a quitté la cité aujourd’hui et poursuit des études. Mais elle est terriblement marquée. Elle est devenue hypersexuelle.Nous avons honte mais je ne lui en veux pas, ce n'est pas sa faute.
Comme vous le dites, les responsables sont les violeurs, ce sont des criminels. Mais j'en veux aussi beaucoup à cette femme qui a donné à ces garçons une fausse image de la femme. Souvent je me dis que sans cette femme, rien ne serait arrivé.
Ma douleur, ma colère, ma haine envers ces garçons qui ont souillé ma petite est immense, mais je suis très sévère contre l'irresponsabilité de cette femme.
Ce que je souhaite Sophie, c'est que vous parliez de ce drame des tournantes dans les cités, que la loi du silence soit brisée! merci de m'aider, d'en parler, de susciter les témoignages, d'aider ces pauvres enfants qui, mortes de honte n'osent pas parler. Vous avez déja dit sur ce blog le sentiment de culpabilité des victimes de viol. Alors dans notre culture, c'est encore pire, c'est une souillure, la honte est terrible.
Merci Sophie d'écouter la douleur d'une mère. Aidez moi, je vous en supplie!
Pensez vous pouvoir aborder ce douloureux sujet sur votre blog?
Chère Cindy,
Vous le savez la parole est libre ici. Vous pouver aborder les sujets que vous voulez. une suele règle à respecter ! pas d'injures, pas d'insultes, pas de denonciation d'une ou plusieurs personnes de façon nominative.
Si ce sujet vous tient à coeur, vous pouvez dire ce que vous voulez...
A bientot, amitiés
Sophie
Sophie, je suis si malheureuse, je me déteste.Je suis avec un homme merveilleux depuis 1 ans. Je l'aime plus que tous au monde et je l'ai toujours aimé.Pourtant, je l'ai trompé deux fois en étant toujours aussi amoureuse de lui.. Et je voudrai comprendre ce qui ce passe dans ma tète pour faire des choses comme ça alors que je l'ai toujours aimé même avec un autre.. Maintenant il a appris mon dernier faux pas et je l'ai sans doute perdue à jamais et j'en suis très malheureuse.. Je vais voir un psy. Mais je suis désespérée.
Seriez vous prête à faire de ce sujet un thème de débat dans votre blog? je sais que vous avez déja abordé d'autres sujets sensibles, celui de la prostitution mériterait cette place. merci d'avance
Sophie
Ce blog fait de toute évidence partie de ces derniers et ne doit pas demeurer inconnu.
je ne dois pas faire ce qu'il faut !!!
Amitiés,
Sophie
Si le nombre de visiteurs décroît cela signifie-t-il pour autant que la visibilité du blog diminue, qu’il devient moins accessible à celles et ceux qui en auraient besoin ? Je ne crois pas et il ne faut sûrement pas y voir une chose négative.
Le net est addictif et il est souvent difficile de prendre du recul par rapport à ce qu’on y produit, difficile de ne pas y penser trop.
En écrivant ceci une question me vient à l’esprit : les personnes hypersexuelles ne seraient-elles pas plus sujettes aux addictions ?
(apparté : J'ai changé d'adresse électronique)
Je ne me sens pas addict... je gère, quand j'ai le temps. Sinon, je laisse...
Et puis, il faut le temps d'écouter le "silence" de la nuit amazonienne, n'est-ce pas ? ;-)
Oui l'audience des blogs érotiques est plus forte (nous aussi entre 800 et 1200 par jour)
Pour développer celui-ci, qui joue un rôle indispensable, il faudrait le faire davantage connaitre.
Nous pensons mettre un article sur notre blog, comme nous l'avions fait pour ton blog érotique
As tu un texte disponible? Souhaites tu en préparer un, qui pourrait servir pour d'autres blogs? Ou souhaites tu qu'on le prépare et qu'on te le soumette avant publication?
Bisouxx
Bisouxx à tout le monde
Olga a préparé un bref texte d'introduction, que je t'envoie par mail pour validation. Ensuite nous proposons de reprendre purement et simplement ton article introductif, qui est très complet
Il faut tout faire pour faire connaitre ce blog et le développer.
Nous t'embrassons
C'est demain la journée mondiale contre les violences faites aux femmes Ne pensez vous pas qu'il faudrait le rappeler sur ce blog?
Alors, pour le moment, je ne peux que publier vos textes et commentaires, helas, guère plus...
Avec toutes mes excuses à vous, amitiés, Sophie
Ton courgae est exemplaire, ma Sophie.
J'ai bien reçu ton texte corrigé qui sera publié prochainement
Bisous
C'est d'ailleurs grace à Olga que j'ai découvert tes blogs
Je voulais aborder le sujet de la prostitution. Je suis moi-même une "professionnelle". J'ai participé à des manifestations revendiquant le respect de ma profession et surtout la légalisation. Nos actions visent à démanteler les aprioris instaurés par la société sur notre activité. Nous réclamons haut et fort nos droits. Parmi les réclamations, l'abrogation de la loi Sarkozy, la légalisation de la profession et que la "putophobie" soit considérée comme un délit et réprimandé. Il faut aussi lutter face au manque de prévention des maladies sexuellement transmissibles. Nous voulons exercer librement sans macs, ni discriminations...
Merci d’aborder ce douloureux sujet sur votre blog. Il faut briser la loi du silence sur notre situation
Ecivez votre texte sur mon mail et je le publierai sans problème. cplemixte973@tyahoo.fr
je vais préparer ça et je vous l'enverrai. un grand merci à vous et pour tout ce que vous faites pour les femmes!
je viens de vous envoyer sur votre boite mail msn mon texte, si vous êtes d'accord pour le publier. Il porte sur le sujet tabou de la situation faite dans notre pays aux prostituées. Je vous remercie d'avance
Si tu veux nous faire part de ton expérience, ce serait avec plaisir que je te publierai.
Bisous
L'exemple en question remonte à l'Antiquité mais reste vrai aujourd'hui malheureusement.
Oui je pense au manifeste des 343, également appelé manifeste des 343 salopes, paru le 5 avril 1971 du Nouvel Obs, signé par 343 femmes qui s’exposaient ainsi à des poursuites pénales car elles affirmaient avoir eu recours à l’avortement. Le texte était rédigé par Simone de Beauvoir et de nombreuses personnalités l’avaient signé.
Je pense au procès de Bobigny en 1972, qui fut le procès politique de l’avortement. Cinq femmes y furent jugées : une jeune fille qui avait avorté après un viol à l’âge de 16 ans (oui, un viol !), et quatre majeures, dont sa mère, pour complicité ou pratique de l'avortement. Ce procès, dont la défense fut assurée par Me Gisèle Halimi, eut un énorme retentissement et contribua à l'évolution vers la dépénalisation de l’IVG.
Je pense enfin au courage et aux larmes de Simone Veil, ministre de la santé. Déportée dans les camps, on avait osé comparer devant elle l’avortement à l’holocauste.
Oui, femmes, mes sœurs, c’était en France, il ya à peine 35 ans. N’oublions pas le combat pour notre liberté et le droit de disposer de notre corps.
Encore aujourd’hui, l’église, au nom de principes de doctrine, poursuit un combat rétrograde. Pire, des commandos d’extrême-droite, impunément, empêchent l’application de la loi, en s’en prenant aux médecins et cliniques qui pratiquent des IVG. L’avortement est toujours un drame pour la femme et l’échec de la contraception. Mais que ces pratiques scandaleuses soient dénoncées et combattues, c’est pour ça que je vous ai envoyé cet article, chère Sophie
Je vais vous envoyer le texte par mail, ça sera plus facile pour vous
Avec mes amitiés
Jacqueline
ravis de vous retrouver sur cet autre blog ! Nous n'avons fait que l'effleurer, mais dejà, comme nous aimons effleurer ceux qui nous sont chers, nous savons que nous y reviendrons !!
Bisous coquins de métropole ... et courage ! Nous avons vu quelles étaient vos journées, un sentiment aussi de petit coup de blues à la lecture de la frequentation ... Qu'importe celle-ci, ce qui compte est sa qualité plus que son nombre, et en l'espèce ... bravo ! Mais trouvez y votre compte, et en premier lieu le plaisir de le faire ! C'est primordial et ne dois pas devenir une charge !
Biz
bises libertines,
Sophie.
Je suis tomber hasardeusement sur ton blog, et cette hypersexualitée chez les filles violées ma intriguée et peux etre pourriez vous me guider.
Je sort depuis prés d'un an avec ma compagne, avec qui tout a été d'un etrange mais agréble naturelle, des moments quotidien jusqu'au etape intime rien ne nous a jamais rendu hésitant l'un en vers l'autre.
Seulement nous avons eu la chance de se decouvrir d'avantage, d'etre si proche de l'autre d'avoir l'impression de la connaitre mieux que sois.
Et oui je la connaits tellement bien maintenant, jusqu'a ce jour sombre ou un homme agée inconnue a ma compagne la violée sur le chemin du retour de l'ecole a l'age de 16 ans, et je le sais et le ressent meme plus que tout cela la detruit encore chaque jour et l'on peux voir dans ces yeux cette envie de mourir indelibile.
Mais je sais qu'elle meme et moi aussi, je regrette tellement de ne pas avoir deja ete present dans sa vie a ce moment la, mais aujourd'hui que faire, elle en parle tres peu et n'allait pas la forcer a revivre ce moment pour des details que je n'aurais sans doutes pas eu ( comme l'identitée qu'elle ne connais pas ) afin de combler cette envie grandissante et effrayante de vengance mais j'ai peur que me lancer dans ce combats ne lui sois trop dur a elle, alors voila elle n'en a jamais parler a personne et souffre seule.
Et pourtant je vous l'ai dit j'ai ete deconcerter par cette faciliter qu'elle avait de s'offrir a moi surtout depuis que j'ai su... et apres ton article il s'agit peux etre bien de cal car elle me demande souvent beaucoup d'attention, plusieur relation qsuotidienne et des caresses intimes qu'elle aime temps si possible durant la journée et comme habituellement pour s'endormir, j'adore ces moments avec elle ou je la rend heureuse, ou je la sens devenir chaude et contracter sous mes gestes tendres, seulement depuis je m'inquiéte me demande si cette passion pour le plaisir a toute heure ne provien pas,pas d'un blocage ou atre psychologique mais plutot a une reaction suite a cette evenement.
je souhaite juste son bien et j'espere l'aider a retrouver le bonheur et la sereniter mais j'ai peur de ne pas toujours faire ce qu'il faut ou tout simplement je suis perdu face a cette situation...
vous mesdammes dites moi ce que je puis, faire, ce qui es a ma porter , pour lui apporter le plus d'aide possible ou m'expliquer ce qui m'echappe , je desire juste comprendre afin de pouvoir mieux reagir. bien a vous, un Homme.
Amitiés
Sophie
J'ai trouvé votre blog et je me permets de vous poser mon dilemme, mon drame en fait
Je m'appelle Sofia j'ai 34 ans, mariée depuis.. 11 ans, j'aime mon mari et je ne regrette rien.
Je sais que c'est le lot de tous les couples mais la routine a pris le dessus, le désir s'est envolé.
Mon amour est toujours bien présent, celui de mes enfants aussi, mais je ne supporte plus ma vie de couple sans flamme dans nos relations sexuelles.
J'ai commencé à me voir comme une épouse vieillissante malgré que je ne le sois pas, mais la rengaine des rapports tous les vendredis soir après le film quand les enfants sont partis dormir chez leurs amis. Je ne pouvais plus.
J'en ai parlé autour de moi, j'ai beaucoup lu de messages et de forums parlant de ce sujet mais il n'y a pas de recette miracle et tout n'est pas si facile.
Et j'ai craqué, j'ai prétexté une sortie avec mes amies, mais en réalité j'ai passée la nuit avec un jeune homme avec qui je travaille tous les jours.
Et j'ai passée une merveilleuse soirée, il a été d'une douceur et d'une gentillesse avec moi que je n'avais pas connue depuis trop longtemps, j'ai été câlinée, choyée et dorlotée plus que je ne l'ai été ces dernières années par mon mari.
Et, oui, j'ai passée une soirée inoubliable et cette seule nuit a suffit à réveiller mes sens endormis et à me faire revenir 10 ans en arrière. Je ne le regrette pas, j'ai eu énormément de plaisir cette nuit là quelle joie quelle soit partagée.
Quand je suis rentrée chez moi dans la nuit, je n'ai pas eu de honte ni de remords, mais de l'excitation d'abord, j'aurais eu envie de crier à qui voulait l'entendre ma plénitude à ce moment là.
Mais j'ai eu honte, pas pour moi, mais pour mon mari, je l'aime profondément mais je n'ai plus de désirs sexuel, pour lui.
Aujourd'hui c'est la Saint valentin, quelques nuits de sommeil m'ont été utiles pour réfléchir à tout ça et je me suis levée, décidée a rallumer la flamme entre nous.
Sous vêtement affriolants, mots coquins...
Mais rien n'y a fait, je n'ai pas eu de plaisir en faisant l'amour avec lui, et j'ai beaucoup pensé à la nuit sans lui.
Je tiens a mon couple et à ma vie avec mes enfants, Je ne veux pas devenir une femme infidèle et je voudrais tenter d'en parler a mon mari, et lui proposer une relation candauliste ( je ne sais pas si ça se dit)
Mais le connaissant, il est très jaloux et j'ai peur que ça ne se finisse pas comme je l'espérerais.
J'espère ne pas vous choquer par ce témoignage et aimerais avoir votre avis et celui des lecteurs de votre blog
Amicalement
Sophie
bises
sacreecoquine
Merci à vous, et n'hésitez pas à nous faire part de vos commentaires ou expériences...
J'ai lu cet article sur doctissimo
http://www.doctissimo.fr/html/sexualite/mag_2001/mag0119/se_3403_excision.htm
Qui concerne l'excision. Je sufggère que ton blog aborde le thème de cette pratique barbare. merci d'avance
Jacqueline
Merci à toi, je le publierai dans la journée ou demain.
je n'avais plus de net, c'est revenu il y a seulement une heure, Après 10 jours de privation !
En mai 2006, une iranienne de 43 ans, Sakineh Ashtiani, est condamnée à recevoir 99 coups de fouet pour avoir eu une relation « illégale » avec deux hommes, après la mort de son mari. Un autre tribunal l’a condamnée en septembre de la même année à la lapidation pour adultère et complicité dans l’assassinat de son mari.
Torturée pour lui extorquer des aveux, cette jeune femme attend depuis 4 ans une mort atroce.
Dans une mise en scène digne de l’abominable régime des mollahs, la télévision iranienne a diffusé les prétendus «aveux», extorquées par la torture, de la malheureuse. Sakineh Mohammadi-Ashtiani apparaît totalement couverte sous un tchador noir et déclare d’une voix tremblante avoir participé au meurtre de son époux et avoir eu une liaison avec le cousin de ce dernier. La diffusion de cette vidéo fait surtout craindre le pire pour son défenseur et ses deux enfants : son exécution pourrait être imminente.
On ne peut qu’être pétrifié d’horreur devant une telle barbarie, dans un pays où les femmes sont privées des droits les plus élémentaires.
Il faut sauver Sakineh, exiger sa libération immédiate, et aussi que la lapidation, une pratique qui, par définition, viole tous les droits humains, soit éliminée.
La lapidation est une pratique barbare… elle doit absolument cesser.
C'est fait.. merci de m'avoir alertée !